Parlons un peu du plastique

🌿 Le plastique… même en cuisine !

Aujourd’hui, j’avais envie de partager une petite réflexion qui me trotte dans la tête depuis un moment.

Quand on cuisine maison, qu’on choisit de bons produits, qu’on fait attention à ce que l’on met dans nos assiettes… on se rend vite compte que les emballages tiennent parfois plus de place que les aliments eux-mêmes !

Et franchement, quelle avalanche inutile…

🧀 Le cas du Babybel… ou l’art du triple emballage

Alors là, c’est l’exemple parfait.

Le Babybel :

  • une couche de plastique,
  • une couche de cire qu’on ne mange pas,
  • et un filet pour emballer le tout.

Et comme si ça ne suffisait pas, j’apprends que l’usine va bientôt remplacer le plastique par du papier recyclable. Bonne intention, oui… mais toujours une couche de trop !

La cire n’est pas comestible, le filet suffit largement. Pourquoi faire plus compliqué ?

C’est ce genre de petites absurdités du quotidien qui, mises bout à bout, finissent par faire beaucoup.

🍽️ Les plats cuisinés : le plastique sous la barquette… pourquoi ?

Autre exemple : les plats cuisinés.

Hachis Parmentier, gratins, lasagnes… on les retrouve souvent dans une barquette en aluminium, recouverte d’un plastique sur le dessus. Normal.

Mais pourquoi donc ajouter un gros plastique rigide sous la barquette ?

Une protection suffit ! Ce plastique en plus ne sert littéralement à rien.

Et ce n’est pas un cas isolé : beaucoup d’aliments sont conditionnés de la même façon.

On parle partout d’économie de ressources, de lutte contre le gaspillage, mais certains emballages semblent aller dans la direction opposée.

🍃 Quand on cuisine maison… ça interpelle encore plus

Quand on prépare soi-même ses plats, on se rend compte que :

  • on réduit énormément les déchets,
  • on choisit l’emballage utile (ou pas d’emballage du tout !),
  • et surtout, on retrouve du sens dans ce que l’on mange.

Alors forcément, voir des couches et des couches d’emballages pour des produits tout simples… ça surprend. Et ça donne envie de rappeler qu’une cuisine plus naturelle, plus maison, c’est aussi une cuisine qui génère moins de plastique.